© Pierre Tissot |
En ce premier mercredi de mars, nous nous retrouvions chez Bruno, pour ce nouveau Paratge.
Ce dernier (le Paratge, pas le Bruno : NDLR), tout à ses apprentis en accordéon, suivait d'un œil et d'une oreille dilettantes notre premier atelier, qui s'avéra… l'unique.
À cette rencontre, se trouvaient Jibé, Alain, qui nous narra les suites de sa chute malencontreuse au Paratge précédent, Thierry, le cuisino-luthier du Tarasconnais, qui nous présenta sa troisième vielle (ce diable d'homme, mordu par un chien de vielle, a attrapé la rage de la lutherie), Max, de retour après une courte absence, de même que l'inoxydable Sylvia, et Ana, toute heureuse de retrouver cette constellation de vielleux méridionaux.
Si l'on ajoute, à cette équipe, ma truffe, c'était une belle brochette qui, empoignant manivelle, se mit à pied d'œuvre.
Les exercices et le travail sur morceaux se firent et, les secondes, minutes et heures suivirent leur implacable cours.
Puis, sans proposition de déconstruction, ce qui, vu l'occupation de l'ami Bruno, était fort compréhensible, et les obligations des uns et des autres, le Paratge connut une hémorragie soudaine de ses participants : Jibé et Max firent leur révérence, Thierry et Sylvia nous annoncèrent leur proche départ pour leurs lointaines pénates ; du coup, Ana et moi, ne sachant que faire, prîmes la décision de suivre le mouvement, non sans avoir averti par messagerie le Patrice, attendu plus tard.
C'est autour d'un verre de rouge que, Sylvia, Ana, Bruno, Thierry et moi, nous séparâmes… laissant le pauvre Patrice, qui avait reçu le message trop tard, en tête à tête avec Bruno ; nostra culpa.
Pierre
Ce dernier (le Paratge, pas le Bruno : NDLR), tout à ses apprentis en accordéon, suivait d'un œil et d'une oreille dilettantes notre premier atelier, qui s'avéra… l'unique.
À cette rencontre, se trouvaient Jibé, Alain, qui nous narra les suites de sa chute malencontreuse au Paratge précédent, Thierry, le cuisino-luthier du Tarasconnais, qui nous présenta sa troisième vielle (ce diable d'homme, mordu par un chien de vielle, a attrapé la rage de la lutherie), Max, de retour après une courte absence, de même que l'inoxydable Sylvia, et Ana, toute heureuse de retrouver cette constellation de vielleux méridionaux.
Si l'on ajoute, à cette équipe, ma truffe, c'était une belle brochette qui, empoignant manivelle, se mit à pied d'œuvre.
Brochette de truffes : Jean-Brice, Bruno, Thierry, Pierre © Pascal (archives)
Les exercices et le travail sur morceaux se firent et, les secondes, minutes et heures suivirent leur implacable cours.
Puis, sans proposition de déconstruction, ce qui, vu l'occupation de l'ami Bruno, était fort compréhensible, et les obligations des uns et des autres, le Paratge connut une hémorragie soudaine de ses participants : Jibé et Max firent leur révérence, Thierry et Sylvia nous annoncèrent leur proche départ pour leurs lointaines pénates ; du coup, Ana et moi, ne sachant que faire, prîmes la décision de suivre le mouvement, non sans avoir averti par messagerie le Patrice, attendu plus tard.
C'est autour d'un verre de rouge que, Sylvia, Ana, Bruno, Thierry et moi, nous séparâmes… laissant le pauvre Patrice, qui avait reçu le message trop tard, en tête à tête avec Bruno ; nostra culpa.
Pierre
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire