© Pierre Tissot |
Ce 4 février 2015, le deuxième Paratge de l'année s'organisait dans les appartements habituels de l'atelier de Bruno.
Sylvia n'était pas là, probablement retenue par le onzième anniversaire de Facebook (4 février 2004), qui se tenait en un lieu secret de son village. Max, non plus, très certainement attardé en quelque soirée hommage consacrée au cent dixième anniversaire de la naissance de Jacques Prévert (4 février 1900).
Mais Patrice, ayant refusé — tout fan de bédé qu'il est — de participer à la commémoration de la première de Bécassine (4 février 1905), Jean-brice, excusé auprès de John Steel qui fêtait son birthday (4 février 1941), Thierry, échappant de peu à la soirée festive organisée pour Alice Cooper (4 février 1948), et Pascal, absent notoire aux soixante trois ans de Gabriel Yacoub (4 février 1952), étaient là, vielles parées.
Même Marie, des cernes plein les yeux au lendemain de la fête de la saint Blaise, se tenait au milieu de nous.
Quant à Pierre, chargé d'écrire le pévé de nos mercredis, bien présent parmi nous, on ne sait où il termina la soirée. Même son papier, son compte-rendu, sa narration de prose et d'humour a disparu avec lui.
Ne restent que les éclaboussures de son pinceau, qui témoignent qu'il passa l'après-midi de ce mercredi à peindre l'un de nous.
Bravo Pierre, tu es tout excusé d'avoir oublié d'écrire cette chronique !
Mais, la prochaine fois, dis, qui croqueras-tu ?
Pascal
Sylvia n'était pas là, probablement retenue par le onzième anniversaire de Facebook (4 février 2004), qui se tenait en un lieu secret de son village. Max, non plus, très certainement attardé en quelque soirée hommage consacrée au cent dixième anniversaire de la naissance de Jacques Prévert (4 février 1900).
Mais Patrice, ayant refusé — tout fan de bédé qu'il est — de participer à la commémoration de la première de Bécassine (4 février 1905), Jean-brice, excusé auprès de John Steel qui fêtait son birthday (4 février 1941), Thierry, échappant de peu à la soirée festive organisée pour Alice Cooper (4 février 1948), et Pascal, absent notoire aux soixante trois ans de Gabriel Yacoub (4 février 1952), étaient là, vielles parées.
Même Marie, des cernes plein les yeux au lendemain de la fête de la saint Blaise, se tenait au milieu de nous.
Quant à Pierre, chargé d'écrire le pévé de nos mercredis, bien présent parmi nous, on ne sait où il termina la soirée. Même son papier, son compte-rendu, sa narration de prose et d'humour a disparu avec lui.
Ne restent que les éclaboussures de son pinceau, qui témoignent qu'il passa l'après-midi de ce mercredi à peindre l'un de nous.
Thierry, avec sa vielle © Pascal |
Thierry, sans sa vielle © Pierre Albrecht Dürer |
Bravo Pierre, tu es tout excusé d'avoir oublié d'écrire cette chronique !
Mais, la prochaine fois, dis, qui croqueras-tu ?
Pascal
Voilà Thierry, à présent tu sais pourquoi on t'as fait poser pour la photo.
RépondreSupprimerMerci Pascal pour cet écho de ma voix aphone.
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