Contribution à distance !
N'étant pas "lecteur" à vue des partitions musicales et ayant une encore assez bonne mémoire visuelle, j'ai essayé de visualiser, sur le papier, les sept modes diatoniques (aussi nommés "naturels") qui ont été l'objet de discussions lors du Paratge de janvier.
J'ai donc pris le clavier d'une vielle en photo, et j'ai marqué les touches "permises" d'un point noir et celles "interdites" avec du blanco®, selon le mode auquel on se réfère (cela m'a permis de constater que "Lo Pantais del Vent", le kash a barzh du quatrième album de Coriandre, est un pur phrygien — nous manquera plus que le bonnet du même nom, et en avaant balèèèèèti !!!).
Je suis parti sur la même note de base pour les sept cas, soit le Sol à vide de ma soprano. Libre à vous de refaire le pense-bête avec le La comme base de départ, puis le Do et le Ré... Et ceux, comme moi, qui ont une chanterelle surnuméraire en Ré à vide, pas la peine de refaire tous les crobarts (Ré, Mi, Sol, et La), puisque c'est plus une histoire de doigté que de nom de gamme !
Ces documents sont à la disposition de qui les veut, si ça peut être une mienne contribution virtuelle au Paratge, où je brille par mon absence !
Toutes ces altérations et autres enchainements, parfois pas "ordinaires", sont fort intéressants pour notre instrument qui supporte, joliment, avec son bourdon, des suites peu utilisées en trad... (le Locrien, par exemple !). Et je ne vous raconte pas le mode moderne dit "de Bartok" !
Une fois que je saurai les sept modes "ordinaires" correctement, je vais me pencher sur les modes modernes altérés qui dérivent en fait des "modes naturels", et reproduirai un digest pour les principaux. Gare à la tendinite, Mme poignée !!!
N'étant pas "lecteur" à vue des partitions musicales et ayant une encore assez bonne mémoire visuelle, j'ai essayé de visualiser, sur le papier, les sept modes diatoniques (aussi nommés "naturels") qui ont été l'objet de discussions lors du Paratge de janvier.
J'ai donc pris le clavier d'une vielle en photo, et j'ai marqué les touches "permises" d'un point noir et celles "interdites" avec du blanco®, selon le mode auquel on se réfère (cela m'a permis de constater que "Lo Pantais del Vent", le kash a barzh du quatrième album de Coriandre, est un pur phrygien — nous manquera plus que le bonnet du même nom, et en avaant balèèèèèti !!!).
Je suis parti sur la même note de base pour les sept cas, soit le Sol à vide de ma soprano. Libre à vous de refaire le pense-bête avec le La comme base de départ, puis le Do et le Ré... Et ceux, comme moi, qui ont une chanterelle surnuméraire en Ré à vide, pas la peine de refaire tous les crobarts (Ré, Mi, Sol, et La), puisque c'est plus une histoire de doigté que de nom de gamme !
Modes diatoniques (Do à Sol) © Philou Puygrenier |
Modes diatoniques (La et Si) © Philou Puygrenier |
Ces documents sont à la disposition de qui les veut, si ça peut être une mienne contribution virtuelle au Paratge, où je brille par mon absence !
Toutes ces altérations et autres enchainements, parfois pas "ordinaires", sont fort intéressants pour notre instrument qui supporte, joliment, avec son bourdon, des suites peu utilisées en trad... (le Locrien, par exemple !). Et je ne vous raconte pas le mode moderne dit "de Bartok" !
Une fois que je saurai les sept modes "ordinaires" correctement, je vais me pencher sur les modes modernes altérés qui dérivent en fait des "modes naturels", et reproduirai un digest pour les principaux. Gare à la tendinite, Mme poignée !!!
Philou Puygrenier.
ben, mon Philou à présent même les allergiques au solfège n'ont plus d'excuses.
RépondreSupprimerHihihihi !!!!
SupprimerPas mal, l'idée du blanco, Philou. Faut laisser sécher un peu, mais ensuite, c'est très pratique pour visualiser les modes, en effet. Pour les petits trous noirs, tu perces avec quoi, sinon ?
RépondreSupprimerAlors, au départ, et pour impérativement simplifier le débat, il faudra garder à l'esprit qu'en aucun cas il sera question pour moi, voire même inenvisageable, sous quel angle que ce soit, tant mon éthique personnelle, combinée au code de déontologie insufflé par mes illustres maîtres, qui, soit dit en passant, n'ont pas toujours dit que des choses intelligibles, drapés qu'ils étaient dans leurs certitudes et leurs suffisances, eux-mêmes baignés par le halo des moralisateurs doublés de panseurs : eh oui, Petit Scarabée, tu auras bien intégré l'idée que les lads sont incontournables pour bouchonner l'écheveau...d'ailleurs, en parlant de veau, ça ramène à ma souvenance une phrase du Général : "Je comprends les cannibales, les Français sont... des veaux" (Hi hi hi ! Hilarant qu'il était, Double Mètre, non? car dévots, ne le fûmes nous point, quand Fille Aînée de l'Eglise était notre cher Exact Gône, comme on dit à Lyon pour causer d'un gars qui arrive à l'heure - pour les TERs, il n'y a pas encore de mot consacré) or donc, pour en revenir au propos, et en réalité, par souci de faire œuvre de réalisme, mon cher Pascal Josrandal (mon nom à moi, apocryphe, est Jossandal ! moins Cinq, ou plutôt moins Une* , devrais-je dire - quoi que Cinq Colonnes ou la Une, y-a-t-il franche différence, à par le prix de revient, en vérité? - mon cher-Pascal-Josrandal-disais-je avant que l'on ne m’interrompe inopinément; nous eussions été frères pour de bon, au lieu d'être "simplement " Frères de la Côte, mais bon, ça, c'est quand même pas de la crotte de bique), ce que j'aimerais bien précisé avec toi, devant tout le monde - une sorte de "lettre ouverte", quoi, si tu vois ce que ma démarche représente et ce que ça peut bien vouloir dire - et pour revenir sur l'une de tes saillies qui fit écho à ma précédente ponte, sois assuré, mon cher Pascal Josrandal, qu'en aucun cas, j'ai bien dit en aucun cas aucun, ni à toi pas plus que d'aucun (J-B. V. inclus !) je ne dévoilerai la somme, pas plus que le diamètre de la mèche, que m'ont élégamment confiées WELDOM afin taire à jamais le Secret des Trous Noirs !
SupprimerBien à toi, mon très cher ami
signé : Ubert Rive Librement
* c'est roulant, comme on dit dans la "Ville aux 3 Fleuves" **, non ? tu trouves pas ça roulant ? Et tu insistes encore pour que je te livre la clé? T'avais qu'à y trouver roulant, non mais à la fin, quoi !
** ben oui, c'est Lyon : il y a le Rhône, la Saône et le Beaujolais, qui arrosent la capitale des Gaules
Tu n'en dévoiles pas le diamètre, mais en tous les cas, on dirait que tu tires bien sur lesdites mèches, mon Philou !
SupprimerCeci étant, le blanco en rouleau ça ne coule pas, mais si tu veux en rester à des technologies passéistes, dignes du temps des cavernes, t'a ka acheter un sèche-cheveux !
RépondreSupprimerSayonara !