Certes, l'image n'offre pas le détail, on ne peut compter le nombre de cordes sympathiques ici, mais il s'agit bien de notre célèbre Maître Lego, celui qui figure dans toutes les collections, sur toutes les étagères. Davantage connu comme pompier New-Yorkais, indien Cherokee ou pirate des Caraïbes, le voici comme musicien à la lyre des mendiants.
Il s'agit bien d'un ménétrier avec sa vielle à roue. L'instrument n'est ni une trompète marine, ni un psaltérion, ni une guitare flamenca, c'est flagrant. À bien étudier, le plumier légèrement décoller de la table d'harmonie, la roue un tantinet voilée, ce serait une Chougnard®, que cela n'étonnerait même personne ici.
Et puis, d'abord, un signe ne trompe pas : la coupe de cheveu. Tout comme au Paratge des Sirènes, à l'exception de Sylvia, Sophie et Marie, tous avons identique mise en plis.
Bravo à Nathan Wells et l'atelier de lutherie The Classic Castle, pour cette belle facture instrumentale, reproduisant, à l'identique, la posture de Maître Lego, vielleur qui précède, dans l'histoire de la musique, celui à la mouche peint par De la Tour.
Pascal.
J'ai bien trouvé un air de ressemblance sans : les cheveux, la barbiche ou moustache et lunettes, cherchez bien il ne peut être gaucher...
RépondreSupprimerEn passant je me permets de faire la bises à tous pensant que vos vacances farnientes se passent bien sous la chaleur tropicale
En assombrissant la teinte n'y aurait-il pas une touche clastrière dans la coiffure ? En tout cas pour le dessus de vielle j'ai reconnu celui de Patrice ;)
RépondreSupprimerEffectivement j'ai eu l'occasion à deux reprises de jouer au Danemark à coté des usines Lego, peut-être cela leur a t'il donné des idées...
RépondreSupprimerPatrice
Les chinois recherchent celui qui avait bien pu servir
RépondreSupprimerde modèle...on va quand même balancer le Patrice...
vu la coupe des tifs on dira que c'était Valentin..
Mince, Patrice, ton passage au Danemark n'a pas laissé insensible l'imagination des stagiaires Lego, c'est flagrant !
RépondreSupprimerCela me fait penser, qu'un jour j'ai refusé un contrat à Springfield, car je voyais bien me faire croquer par un dessinateur pervers (ceux qui connaissent Pierre me comprennent) et me retrouver, trois mois plus tard, avec une tête de jaunisse et la vielle au poignet dans un épisode des Simpsons…
Au Danemark j'étais avec Max et sa chougnarde, ça aurait pu faire des dégâts.
SupprimerPatrice