© Pierre Tissot |
Amis de la paratgie, mars étant un mois au rabais vous
aurez un écho au rabot ; d’autant que, nous fûmes, comme les jours de février,
peu nombreux. Pas Patricia, pas Patrice, pas Pascal*, mas Marine oups pas
Marine, pas David, Lo paure Christian toujours aux abonnés absents mais que
nous espérons encore et toujours, prompt dans le rétablissement. Enfin pas les
ponctuels passagers d’un ponctuel paratge dont j’ai oublié les prénoms puisque
je ne les retiens que très difficilement.
En atelier initiation, où une fois n’est pas coutume, j’arrivais avec un bon gros retard, nous avions la joie de retrouver Lo Sergio qui, profitant de l’effet de surprise annonçait au groupuscule : « La prochaine fois, je viens au confirmé ». CHICHE !!! Tout ça pour bénéficier de la gastronomique auberge ibère.
En deuxième partie, nous étions quatre, comme les doigts des Schtroumpfs, l’inoxydable Sylvia, Bruno le conteur au coin du feu, le jovial Jibé et le verbeux chroniqueur qui vous écrit. Il n’y a qu’un mot pour la décrire : domino.
Non que nous entamâmes une partie de ce jeu immortel qui fit
la joie du cabaretier avant l’invasion marshalliste des flippers, mais bien, ce
morceau médiéval manuscrit, retrouvé sur un parchemin de peau humaine caché
par un franc-maçon qui devait passer à la question, dans l’œil gauche de la
statue du treizième apôtre inconnu (car conservé par une secte protonéonazi
fondée par un des nombreux fils adultérins de Néron) dont le rayon vert du
vitrail de Strasbourg éclaire l’auriculaire gauche qui montre la direction de l’œil
aux équinoxes, les jours où les rayons de la pleine lune viennent la frapper, c’est-à-dire
tous les 427 ans (ceux qui ont tenu jusqu’ici gagnent l’intégrale de Dan Brown
en coloriage, à retirer dans la librairie la plus proche). Mais je m’égare,
revenons au "Domino", passant de l’une aux autres, c’est à dire de Sylvia au binôme
Bruno, Jibé, je montrais les deux phrases du morceau (heureusement que j’avais
bachoté comme un malade trois jours avant).
Au cours du repas, entre deux discussions sur les royaumes
de truanderies, le père Bruno s’est transformé en Papa Brunoël en proposant
aux chauffeurs divers et variés de défrayer les frais d’essence, de gaz, de
charbon ou d’avoine pour les prochains paratges et autres manifestations, qu’on
se le dise ! Voilà donc pour ce Paratge de mars.
* Éminent co-rédacteur du dernier Écho, qui fit dire à
certains qu’il fallait faire un livre, à d’autres acheter un fauteuil, des
pantoufles et prendre deux heures pour le savourer comme un bon Armagnac, à
quelques-uns que cet étouffe chrétien typographique empêchait l’estomac cérébral
de s’empiffrer jusqu’au bout, enfin, à Bruno, que ça tournait aux bons mots façon
France Culture (reste plus qu’à préparer des trucs à la Bigard façon France Cul
;-)
Pour les fervents admirateurs de ma prose, qui est à l’écrit ce que la logorrhée est au verbe, je m’en vais vous en ficher du supplément !
Écho des Sirènes — supplément dates.
Suite aux diverses discussions qui égaillent notre hacienda sur
le pouce de 19h30, on a mis au clair les prochaines dates et de paratge, et de
sorties :
Le paratge reste toujours fidèle aux sirènes, donc les
mercredis 6 avril, 4 mai et 1er juin sont les prochaines dates. Cependant, le
1er juin est un paratge à la journée, début le matin, casse-croute à midi et
après-midi toujours studieuse, enfin soirée bouillabaisse (légendaire) à la Casa Pépé, offerte par le Paratge (compagne et compagnon peuvent s’y joindre).
Pour les sorties :
Samedi 30 avril. Pour cause de 11 septembre et de première
partie chargée, l’attentat sonore se transforme en vielle-vernissage et
petit-fours (pour la joie des pique-assiettes) au Printival de Pézenas.
Samedi 28 mai. "Agde 2600 ans d’histoire" (j’en déduis qu’on
compte tout ça, avant la création du bistro Hélène, succursale de l’ouzo de
Marseille. C’est pour le côté blaguons façon Canard Enchainé).
Lundi 25 juillet. Expo Luthier Innovation, concert pour la
Fiest’Agde.
Jeudi 28 juillet L'Estivada de Rodez.
Pierre.
Jeudi 28 juillet L'Estivada de Rodez.
Pierre.
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