© Pierre Tissot |
Après-midi à huis-clos, pour le premier atelier de ce mercredi de mars. Le groupe travailla dans le secret, à l'abri des oreilles jalouses. Aucun vol de bourdon, possible.
Nous ne rapporterons donc rien, de cette session où, sous la magnanimité des plus expérimentés, les techniques les plus sourdes furent approchées par la jeunesse.
Pour le second atelier, nous décidâmes de scinder le Big Band, recréant, ainsi, le principe de l'ancestral organistrum : d'un côté, celui qui pianote de la main gauche, de l'autre, celui qui tourne la droite.
À main droite ou à main gauche, qu'importe ! l'idée était de marcher du côté sauvage, comme l'aurait dit Lou Reed, qui aurait fêté son anniversaire ce jourd'hui, 2 mars, s'il n'avait rendu les armes aussi tôt.
Ainsi, Patrice forma, avec Jean-Brice, Marie, Max et Thierry, un paquet de mélodistes, pour étudier des arpèges à 200/h. Nous invitâmes Ana et Fabien, à créer un trio, au sein duquel il fut question de tours de manivelles, à... 200/h.
Comme dans toutes les bonnes recettes assaisonnées à la vielle, les deux groupes se retrouvèrent à la fin, pour le clou de la soirée, l'instant où nous dressâmes la table, posâmes le couvert, tartinâmes nos viellistiques rêves de pâtés de lapin, de blagues épicées et de projets estivaux.
Bien avant la minuit, nous rangeâmes les vielles, glissâmes les fligh cases dans les automobiles.
La nuit était là, encore froide en cette fin d'hiver. Nous ne nous attardâmes point, sur le parking ; rendez-vous au Paratge d'avril !
Pascal
Nous ne rapporterons donc rien, de cette session où, sous la magnanimité des plus expérimentés, les techniques les plus sourdes furent approchées par la jeunesse.
Pour le second atelier, nous décidâmes de scinder le Big Band, recréant, ainsi, le principe de l'ancestral organistrum : d'un côté, celui qui pianote de la main gauche, de l'autre, celui qui tourne la droite.
À main droite ou à main gauche, qu'importe ! l'idée était de marcher du côté sauvage, comme l'aurait dit Lou Reed, qui aurait fêté son anniversaire ce jourd'hui, 2 mars, s'il n'avait rendu les armes aussi tôt.
Ainsi, Patrice forma, avec Jean-Brice, Marie, Max et Thierry, un paquet de mélodistes, pour étudier des arpèges à 200/h. Nous invitâmes Ana et Fabien, à créer un trio, au sein duquel il fut question de tours de manivelles, à... 200/h.
Une belle fissure sur la roue, ça taille grave au Paratge © Pascal |
Comme dans toutes les bonnes recettes assaisonnées à la vielle, les deux groupes se retrouvèrent à la fin, pour le clou de la soirée, l'instant où nous dressâmes la table, posâmes le couvert, tartinâmes nos viellistiques rêves de pâtés de lapin, de blagues épicées et de projets estivaux.
Bien avant la minuit, nous rangeâmes les vielles, glissâmes les fligh cases dans les automobiles.
La nuit était là, encore froide en cette fin d'hiver. Nous ne nous attardâmes point, sur le parking ; rendez-vous au Paratge d'avril !
Pascal
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