© Pierre Tissot |
Pour ce premier mercredi du mois de décembre, nous nous retrouvions dans l'atelier du Pèr' Bruno qui, malgré la loi de séparation de l'Éclisse et de l'Étau, accepte que l'on vienne crécher chez lui.
Ainsi, nous, ravis de la croche, pouvions commencer le premier atelier. Au risque de se répéter, nous continuâmes sur ce qui fut entamé lors des Paratges précédents. Sans vouloir me livrer à un recensement, Ana, Alain, Thierry et compagnie, y allèrent d'une roue joueuse et volontaire.
Cependant que nous enchainons les exercices, sur un coin de table, Marie fait des devoirs ; de la voir si studieuse, on la devine enfant (sonnez hautbois, résonnez musettes).
Puis, l'ami Bruno nous invite à déconstruire et, en bon rémouleur, aiguise nos oreilles à ces rythmes de chiens peu communs. Rythmes qui, une fois maîtrisés, nous amèneront des îles aux airs des bohémiens.
Puis, c'est au tour de compère Pascal d'apparaitre, sans Patrice, qui nous joue l'Arlésienne.
On continue sur l'orchestration des scottisches. Une petite récréation, Sylvia ou Jibé lance le sujet des cinq ans du Paratge, c'est l'occasion de revenir sur les différentes personnes qui y sont passées, ainsi que des visites que nous reçûmes, telle celle de Daniel Frouvelle de l'albigeois, ou encore Juliette et Jean-Pierre, d'Outre-Rhône. Évoquant ces derniers, quoiqu'en Languedoc, nous nous sentons de Provence.
On reprend encore une tournée avant l'heure de la bouffe, puis nous mettons les tables et, pour finir l'année, le bœuf réchauffe l'atmosphère : "The Almond And The Olive" s'improvise entre Pascal et moi et un morceau des Frères Guillaumet.
Nous avons des hôtes à table, ça mange et ça discute dans tous les coins de l'atelier, le tout ponctué d'un verre de vin, qui descend dans l'estomac comme un petit Jésus en culotte de velours.
À la nuit bien avancée, nous nous séparons et nous donnons rendez-vous l'année prochaine pour la venue des roues à mages.
Pierre
Ainsi, nous, ravis de la croche, pouvions commencer le premier atelier. Au risque de se répéter, nous continuâmes sur ce qui fut entamé lors des Paratges précédents. Sans vouloir me livrer à un recensement, Ana, Alain, Thierry et compagnie, y allèrent d'une roue joueuse et volontaire.
On gare la voiture, et y'a pus qu'à ramer pour rejoindre l'Île d'Agde © Sylvia |
Cependant que nous enchainons les exercices, sur un coin de table, Marie fait des devoirs ; de la voir si studieuse, on la devine enfant (sonnez hautbois, résonnez musettes).
Puis, l'ami Bruno nous invite à déconstruire et, en bon rémouleur, aiguise nos oreilles à ces rythmes de chiens peu communs. Rythmes qui, une fois maîtrisés, nous amèneront des îles aux airs des bohémiens.
Puis, c'est au tour de compère Pascal d'apparaitre, sans Patrice, qui nous joue l'Arlésienne.
On continue sur l'orchestration des scottisches. Une petite récréation, Sylvia ou Jibé lance le sujet des cinq ans du Paratge, c'est l'occasion de revenir sur les différentes personnes qui y sont passées, ainsi que des visites que nous reçûmes, telle celle de Daniel Frouvelle de l'albigeois, ou encore Juliette et Jean-Pierre, d'Outre-Rhône. Évoquant ces derniers, quoiqu'en Languedoc, nous nous sentons de Provence.
Dominique et Jean-Brice dégustent amandes et olives © Sylvia |
Bruno et Thierry, un air de Frères Guillaumet © Sylvia |
On reprend encore une tournée avant l'heure de la bouffe, puis nous mettons les tables et, pour finir l'année, le bœuf réchauffe l'atmosphère : "The Almond And The Olive" s'improvise entre Pascal et moi et un morceau des Frères Guillaumet.
Nous avons des hôtes à table, ça mange et ça discute dans tous les coins de l'atelier, le tout ponctué d'un verre de vin, qui descend dans l'estomac comme un petit Jésus en culotte de velours.
À la nuit bien avancée, nous nous séparons et nous donnons rendez-vous l'année prochaine pour la venue des roues à mages.
Pierre
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