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| © Pierre Tissot |
Et bien voilà, pour novembre, on va faire maigre.
Va falloir se dégourdir les nerfs auditifs, jouer des étriers pour percevoir L'Écho des Sirènes.
Et, au risque de passer par dessus le bastingage, Ulysse n'a plus qu'à tendre ses portugaises pour capter quelque chose.
Pourtant, il y a eu foule, du Thierry de Tarascon, de la Marie biterroise, du Jibé, du Bruno, du Patrice en passant par Pascal, de l'indéboulonnable Sylvia, et j'en oublie sans doute. En bref, une belle brochette !
L'auberge espagnole fut, une fois de plus, un florilège d'échanges et de bons mots, de blagounettes, de blagounasses et autres délires. Et pourtant, tout est trop flou, à présent, pour que je puisse en faire une saine chronique.
Que dire…
Si, si bien sûr, nous eûmes trois ateliers forts bien fournis.
Un 16-18, avec exercices de chien, travail à jeun sur des bourrées et autres. Un 18-20, tout en déconstruction, avec du cinq temps en mission impossible. Un 20-22 et son 5/8 européen, et métronome pour caler tout ce beau monde.
Une sortie après repas, où on se sent lestés de travail fait et à faire.
Mais tous ces lâchages de têtes qui font la cerise sur vielle du Paratge, tout ça est enfoui et enfui. Une fois n'est pas coutume, je suis lapidaire.
Pierre
Pendant ce même mois de novembre, à Questembert, nos amis Denis Siorat et Marc Anthony, accompagnés par Gurvan Liard, créaient l'association Vielle à Roue en Bretagne, dont l'objet est de promouvoir et développer, par tous moyens et tout type d’évènement, la pratique de la vielle à roue (collecter la tradition et ouvrir sur l’innovation, favoriser l’apprentissage, soutenir la création, etc.).
À l'instar d'un Paratge des Sirènes en Languedoc, cette asso va organiser des journées de découverte et de pratique, ambitionne également de participer à des fêtes et rassemblements, et s'autorise l'idée de se déplacer pour des festivals tels que les Rencontres d'Ars, la Fête de la Vielle à Anost, le Festival de Combrailles, etc.
Si, comme notre ancien paratgiste David, vous êtes dans ce coin de la France de l'Ouest, n'hésitez pas à contacter Michel Lemeu ou Marc Anthony, pour vous annoncer.
Va falloir se dégourdir les nerfs auditifs, jouer des étriers pour percevoir L'Écho des Sirènes.
Et, au risque de passer par dessus le bastingage, Ulysse n'a plus qu'à tendre ses portugaises pour capter quelque chose.
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| Le bizutage de Thierry : Patrice pose son empreinte digitale sur la roue colophanée © Pascal |
Pourtant, il y a eu foule, du Thierry de Tarascon, de la Marie biterroise, du Jibé, du Bruno, du Patrice en passant par Pascal, de l'indéboulonnable Sylvia, et j'en oublie sans doute. En bref, une belle brochette !
L'auberge espagnole fut, une fois de plus, un florilège d'échanges et de bons mots, de blagounettes, de blagounasses et autres délires. Et pourtant, tout est trop flou, à présent, pour que je puisse en faire une saine chronique.
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| Brochettes espagnoles et florilèges de blagounettes : l'art de la déconstruction © Pascal |
Que dire…
Si, si bien sûr, nous eûmes trois ateliers forts bien fournis.
Un 16-18, avec exercices de chien, travail à jeun sur des bourrées et autres. Un 18-20, tout en déconstruction, avec du cinq temps en mission impossible. Un 20-22 et son 5/8 européen, et métronome pour caler tout ce beau monde.
Une sortie après repas, où on se sent lestés de travail fait et à faire.
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| 20-22 sur 5/8 pour 6 : faîtes vos jeux ! © Pascal |
Mais tous ces lâchages de têtes qui font la cerise sur vielle du Paratge, tout ça est enfoui et enfui. Une fois n'est pas coutume, je suis lapidaire.
Pierre
Pendant ce même mois de novembre, à Questembert, nos amis Denis Siorat et Marc Anthony, accompagnés par Gurvan Liard, créaient l'association Vielle à Roue en Bretagne, dont l'objet est de promouvoir et développer, par tous moyens et tout type d’évènement, la pratique de la vielle à roue (collecter la tradition et ouvrir sur l’innovation, favoriser l’apprentissage, soutenir la création, etc.).
À l'instar d'un Paratge des Sirènes en Languedoc, cette asso va organiser des journées de découverte et de pratique, ambitionne également de participer à des fêtes et rassemblements, et s'autorise l'idée de se déplacer pour des festivals tels que les Rencontres d'Ars, la Fête de la Vielle à Anost, le Festival de Combrailles, etc.
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| Vielle à Roue en Bretagne © Anonyme |
Si, comme notre ancien paratgiste David, vous êtes dans ce coin de la France de l'Ouest, n'hésitez pas à contacter Michel Lemeu ou Marc Anthony, pour vous annoncer.
Ben, pour une fois que la promo sur l'art et l'usage de la "chignole", accompagnés de toutes ses contraintes vissicitudes (qui est capable, à ce jour et dans l'Univers, de les énumérer? Hein???) pour une fois que cette promo émerge du pays d'Òc (et oui, le Paratge, ce n'est pas rien dans l'histoire, j'en suis sûr, et que dire de Denis Siorat le transfuge alsaco-languedo-bretonnant !) pour une fois, disais-je, que le revival est insufflé par le Sud, nous ne pouvons que souhaiter bon vent à ces initiatives qui font qu'un jour, tes enfants feront vielle à roue en première langue, plutôt que flûte à bec Allos !
RépondreSupprimerDu Qu'es aquò au Kenavo il n'y a qu'un tour de roue.
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