© Pierre Tissot |
Bon, va falloir se regrouper car
fin octobre fut un peu mouvementé par chez moi. Un écho, un écho,
mince, la feuille blanche, l'écran noir, le blanc dans les souvenirs,
le trou noir. Les ténèbres de ma mémoire. Tiens ! une petite lumière,
la tache s'agrandit, ça y est… pour novembre, mais oui, tout me revient.
Un premier atelier toujours réduit
à sa portion congrue, l'indéboulonnable Sylvia (certaines statues
de dictateurs ne peuvent pas en dire autant) et… une nouvelle venue.
Non, il n'y a pas de coquille. Oui, les termes sont au féminin. On a
vu des Marie en prénom masculin avec plus d'ambiguïté que dans Valéry
et son i grec, mais là, ce soir-là, la Marie qui nous vient est bien
une jeune fille.
Avant d'aller plus loin, arrêtons-nous et comptons, en partant de Sylvia et à présent Marie, si on ajoute Marine (momentanément privée de Paratge pour raisons estudiantines sinon professionnelles), Marou que nous n'eûmes en novembre mais espérons en décembre et Michèle, pour les paratge de pleine lune sans appel des gentils morveux du Morvan, on peut se la péter et se prétendre paratge paritaire.
Revenons à Marie, souriante, charmante, débutante et pleine d'allant (ce qui n'est pas peu dire, étant donné qu'elle joue sur une Roger Chougnard®, « motorisée Tarois » dirons certains, « carrossée Chougnard » leur répondrai-je). Don Juan Brice et moi-même leur avons proposé de travailler le désormais fil rouge Les filles de l'aire et nous avons présenté à l'une et rappelé à l'autre les divers exercices de dissociation ou de relâchés. Travail sur la teneur de Domino. À la fin de l'atelier, Marie prenait congé jusqu'à la prochaine rencontre, ce qui priva les rois de la manivelle de faire sa connaissance, bien fait pour eux !
En deuxième mi-temps, arrivée des Montpelliérains (sauf Pascal). On se met à l'ouvrage pour le challenge de ce Paratge 2011/12, tenir trois-quarts d'heure voire plus, pour le cas où les prochains attentats se transformeraient en prise d'otages (ce qui en termes plus marins, pour garder l'harmonie avec nos sirènes se traduirait par : « …le cas où les prochains abordages sonores se transformeraient en prise de rafiot scénique »). Signalons aussi la visite de deux auditeurs surprise accompagnés d'un pittbull, qui, sans sa muselière, affichait un beau sourire plein de dents à 360 kg/cm3 de pression. Dotés d'un bon grammage éthylique, tout du moins, ils louèrent notre secte de tournicoteurs dans des phrases dont l'enchainement n'était pas toujours évident. Quoiqu'il en soit, l'un deux ponctuait souvent les louanges, d'une devise digne de figurer sur le phylactère d'un blason quelconque d'un hobereau lambda : FORCE ET PERSÉVÉRANCE.
Bon résumé de cette seconde partie en somme. Je ne vous parlerai pas des morceaux que nous travaillâmes, ça vous obligera à suivre nos prochaines actions scéniques. Pour finir, le père Bruno, père fondateur de ces rencontres, rappelons le, qui fut ce mercredi aux abonnés absents pour cause d'accordéons sur la planche, nous rejoignait pour fêter avec nous la naissance de mon second fils (âgé de 48 h) et l'anniversaire de Sylvia. Il nous apportait des munitions en vue des prochaines apparitions du paratge. Je laisse à Jipépé le mot de la fin à méditer comme un aphorisme : « c'est pas parce que c'est beau que c'est bon », le Bon, le Beau, le Vrai… Platon reviens, ils sont devenus fous !!!
Pierre.
Avant d'aller plus loin, arrêtons-nous et comptons, en partant de Sylvia et à présent Marie, si on ajoute Marine (momentanément privée de Paratge pour raisons estudiantines sinon professionnelles), Marou que nous n'eûmes en novembre mais espérons en décembre et Michèle, pour les paratge de pleine lune sans appel des gentils morveux du Morvan, on peut se la péter et se prétendre paratge paritaire.
Revenons à Marie, souriante, charmante, débutante et pleine d'allant (ce qui n'est pas peu dire, étant donné qu'elle joue sur une Roger Chougnard®, « motorisée Tarois » dirons certains, « carrossée Chougnard » leur répondrai-je). Don Juan Brice et moi-même leur avons proposé de travailler le désormais fil rouge Les filles de l'aire et nous avons présenté à l'une et rappelé à l'autre les divers exercices de dissociation ou de relâchés. Travail sur la teneur de Domino. À la fin de l'atelier, Marie prenait congé jusqu'à la prochaine rencontre, ce qui priva les rois de la manivelle de faire sa connaissance, bien fait pour eux !
La dissociation, c'est beau comme une paella © Parages des Sirènes |
En deuxième mi-temps, arrivée des Montpelliérains (sauf Pascal). On se met à l'ouvrage pour le challenge de ce Paratge 2011/12, tenir trois-quarts d'heure voire plus, pour le cas où les prochains attentats se transformeraient en prise d'otages (ce qui en termes plus marins, pour garder l'harmonie avec nos sirènes se traduirait par : « …le cas où les prochains abordages sonores se transformeraient en prise de rafiot scénique »). Signalons aussi la visite de deux auditeurs surprise accompagnés d'un pittbull, qui, sans sa muselière, affichait un beau sourire plein de dents à 360 kg/cm3 de pression. Dotés d'un bon grammage éthylique, tout du moins, ils louèrent notre secte de tournicoteurs dans des phrases dont l'enchainement n'était pas toujours évident. Quoiqu'il en soit, l'un deux ponctuait souvent les louanges, d'une devise digne de figurer sur le phylactère d'un blason quelconque d'un hobereau lambda : FORCE ET PERSÉVÉRANCE.
Bon résumé de cette seconde partie en somme. Je ne vous parlerai pas des morceaux que nous travaillâmes, ça vous obligera à suivre nos prochaines actions scéniques. Pour finir, le père Bruno, père fondateur de ces rencontres, rappelons le, qui fut ce mercredi aux abonnés absents pour cause d'accordéons sur la planche, nous rejoignait pour fêter avec nous la naissance de mon second fils (âgé de 48 h) et l'anniversaire de Sylvia. Il nous apportait des munitions en vue des prochaines apparitions du paratge. Je laisse à Jipépé le mot de la fin à méditer comme un aphorisme : « c'est pas parce que c'est beau que c'est bon », le Bon, le Beau, le Vrai… Platon reviens, ils sont devenus fous !!!
Pierre.
Pierre, 48 heures après... © Jean-Brice |
Aaaarrgh et en plus y avait de paparazzi !
RépondreSupprimerBelle pose le meck!!!!!! et il dira qu'il travaille les enchainements chien "chat" et roue.
RépondreSupprimerOui une copine de plus enfin!! je vais me sentir moins seule au milieu de Dons Juan
Bravo pour ce commentaire avec toujours de la recherche.
La dissociation ça a du bon quand on à deux Fils à gérer.....!!!!!
RépondreSupprimerAmistats
JB