© Pierre Tissot |
Il est à présent coutumier, pour ne pas dire trad, de se retrouver en fin de session, avant les mois estivaux, pour se remplir la panse de bons aliments. C'est ainsi que juin eu son Paratge des Sirènes en sus.
En étant concis, nous nous retrouvâmes une tripotée en début d'après midi chez Maurice, notre ex-salon de coiffure relooké en hangar à vielle à roue, accordéons et autres si affinités, le tout sous l'égide de L'Imagineïre, pour faire péter quelques bons morceaux entre deux blagues voire quelques bonnes blagues entre deux morceaux (ce qu'on appelle un chien chaud, en langue de vielle).
Parfois, une grivoiserie fuse d'autant plus délicate quand celui qui la profère ne s'en rend pas compte. Ainsi X (je conserve l'anonymat, rapport à sa famille), parlant de la présence et l'absence du chien sur une mélodie s'exclame : « j'adore quand ça rentre et ça sort »,
(n.d.l.a. : « Restons français soyons gaulois » — Jacques Dutronc).
Un vielleux… © Sylvia |
… peut en cacher une autre © Jean-Brice |
Puis, nous allâmes chez Aymé, en d'autres termes La Casa Pépé, sponsor officiel du Paratge depuis les origines, pour déguster, en commun (vielleux du Paratge des Sirènes et accordéonneux de Accordéon-Nous) et nombreuse compagnie, une macaronagde, qui est à la macaronade ce que la Chougnard® est à la vielle à roue, c'est à dire une marque déposée et un secret.
Le Paratge devant France vs Nigéria © Jean-Brice |
Nous fûmes donc initiés, comme à Eleusis, mais en plus drôle et moins prise de tête. Puis, Mondial oblige, certains d'entre nous sont allés se faire foot, pendant que les autres continuaient leurs palabres avant de rejoindre leurs pénates respectives.
Ainsi, s'est clos le Paratge des Sirènes avant la coupure juillet-août.
Pierre.
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