© Pierre Tissot |
Qui a dit que le mois de juin rime avec fin d'année, et que l'on s'y sent en vacances avant même de les avoir commencées ?
Certainement pas nous, qui avons ajouté ce mois-ci une réunion supplémentaire à nos habituelles rencontres mensuelles, et de plus, décidé de nous réunir une heure plus tôt afin d'effectuer un travail conséquent, avant d'attaquer le traditionnel repas de fin d'année.
Sans modestie, nous pouvons nous vanter d'avoir analysé, découpé, étudié avec précision "Famous Wolf", avec support vidéo, revu quelques branles languedociens, évoqué les prochaines manifestations auxquelles nous pourrions participer, et même nous interroger sur l'orientation de notre futur répertoire. Et ce, avec une grande partie des troupes : Jean-Brice, Pierre (que nous étions ravis de retrouver), Sylvia, Bruno, Gilles et moi même !
Nous eûmes, bien sûr, aussi le loisir de nous octroyer de petits moments de détente, avec l'improvisation d'un ensemble vielle-accordéon, une séance de découverte de la technique de déchiffrage spontané de partitions... et j'en passe !
Mes souvenirs quelque peu lacunaires de cet après midi ne me permettant pas d'en restituer fidèlement tous les détails...
Marie.
Compliqué, de rédiger le compte-rendu de ce Paratge de fin de saison. Comme dirait l'Annie, c'était un peu "L'école est finie", fin juin. Ranger la colophane et le coton, brûler les partitions, place à une géante récréation, l'été est là, l'appel des sirènes au loin se fait entendre, par vagues successives.
Arrivé devant l'antre du Paratge, le soleil couchant claque encore sur l'enseigne de nos lieux d'habituels supplice de la roue - ne l'oublions pas, ce 26 juin est surtout la Journée internationale pour le soutien aux victimes de la torture. D'ailleurs, il s'en faudrait de peu, que le rideau de fer ne s'abatte sur nos têtes, si toutefois le désir de passer la porte pour travailler un tantinet nos instruments nous inspirait.
On hésite à finir d'entrer, on regarde l'heure, comme si nous eussions espéré qu'elle tournât plus vite pour nous rapprocher de celle du repas promis par L'Imagineïre, et l'on guette au loin si quelque âme ne nous attire pas aux meilleures tables de l'Île d'Agde.
Finalement, les horloges de la ville nous indiquent, comme dirait le Claude, que le rideau va tomber. On reprend la vielle sur le dos, et l'on oriente le pas vers les réjouissances.
Pascal.
En ce qui me concerne, je suis allé à Agde pour voir les copains, bavasser, rigoler... car manger au resto, c'est pas mon truc, la bouffe ne m'intéresse pas.
La vielle non plus, d'ailleurs, c'est juste un prétexte et, du coup, j'ai pris une petite flûte en bambou, légère et maniable, et qui surtout produit un son bien plus agréable que la vielle.
Soirée sympa, il ne manquait que les boules, la piscine et les cartes, mais je crois que certains Paratgistes se sont rattrapés en juillet !
À part ça, j'ai joué, cet été, à Villeneuvette, et je trouve cet endroit tout à fait magique.
Bises à tous et à la rentrée !
Patrice.
Certainement pas nous, qui avons ajouté ce mois-ci une réunion supplémentaire à nos habituelles rencontres mensuelles, et de plus, décidé de nous réunir une heure plus tôt afin d'effectuer un travail conséquent, avant d'attaquer le traditionnel repas de fin d'année.
Sans modestie, nous pouvons nous vanter d'avoir analysé, découpé, étudié avec précision "Famous Wolf", avec support vidéo, revu quelques branles languedociens, évoqué les prochaines manifestations auxquelles nous pourrions participer, et même nous interroger sur l'orientation de notre futur répertoire. Et ce, avec une grande partie des troupes : Jean-Brice, Pierre (que nous étions ravis de retrouver), Sylvia, Bruno, Gilles et moi même !
La grande |
Nous eûmes, bien sûr, aussi le loisir de nous octroyer de petits moments de détente, avec l'improvisation d'un ensemble vielle-accordéon, une séance de découverte de la technique de déchiffrage spontané de partitions... et j'en passe !
Mes souvenirs quelque peu lacunaires de cet après midi ne me permettant pas d'en restituer fidèlement tous les détails...
Marie.
Compliqué, de rédiger le compte-rendu de ce Paratge de fin de saison. Comme dirait l'Annie, c'était un peu "L'école est finie", fin juin. Ranger la colophane et le coton, brûler les partitions, place à une géante récréation, l'été est là, l'appel des sirènes au loin se fait entendre, par vagues successives.
Arrivé devant l'antre du Paratge, le soleil couchant claque encore sur l'enseigne de nos lieux d'habituels supplice de la roue - ne l'oublions pas, ce 26 juin est surtout la Journée internationale pour le soutien aux victimes de la torture. D'ailleurs, il s'en faudrait de peu, que le rideau de fer ne s'abatte sur nos têtes, si toutefois le désir de passer la porte pour travailler un tantinet nos instruments nous inspirait.
Le soleil couchant claque sur l'enseigne du Paratge © Pascal |
On hésite à finir d'entrer, on regarde l'heure, comme si nous eussions espéré qu'elle tournât plus vite pour nous rapprocher de celle du repas promis par L'Imagineïre, et l'on guette au loin si quelque âme ne nous attire pas aux meilleures tables de l'Île d'Agde.
Finalement, les horloges de la ville nous indiquent, comme dirait le Claude, que le rideau va tomber. On reprend la vielle sur le dos, et l'on oriente le pas vers les réjouissances.
Pascal.
En ce qui me concerne, je suis allé à Agde pour voir les copains, bavasser, rigoler... car manger au resto, c'est pas mon truc, la bouffe ne m'intéresse pas.
La vielle non plus, d'ailleurs, c'est juste un prétexte et, du coup, j'ai pris une petite flûte en bambou, légère et maniable, et qui surtout produit un son bien plus agréable que la vielle.
Soirée sympa, il ne manquait que les boules, la piscine et les cartes, mais je crois que certains Paratgistes se sont rattrapés en juillet !
Il n'est plus l'heure pour Patrice et Gilles, le rideau de fer tombe © Pascal |
À part ça, j'ai joué, cet été, à Villeneuvette, et je trouve cet endroit tout à fait magique.
Bises à tous et à la rentrée !
Patrice.
Les doigts gourds, l’esprit pâteux, la gueule de bois à roue, je sortais, ce 26 juin, de trois mois de sevratge (i.e. temps passé sans Paratge), pour me trouver Roue de l’Amur… oups ! Rue de l’Amour, et rejoindre mes comparses pour un paratge H.S. (i.e. Hors-Série et pas Hors-Service).
Qu’écrire, après des mois d’absence épistolaire, durant lesquels le gant fut relevé par ceux et celles qui prirent la plume et assurèrent les articles de ce blog, peu. Jouons-la donc, perso : j’étais très heureux de retrouver la joyeuse bande, Sylvia rapportant un drapeau à hisser lors des abordages, Marie toujours aussi enthousiaste, Jibé et son inénarrable rire qui sème la bonne humeur autour de lui, Gilles et ses rêves d’Orléans, and last but not least Mestre Priez ou l’onirique luthier et sa besace à histoires, historiettes, anecdotes, contes et légendes. Ainsi fut le premier cercle.
Entre fromatge et dessert… le Paratge, en cercle © Jérôme |
Pour le second, plus gastronomique, nous rejoignirent Patrice, qui ne boude pas les agapes d’Agde, et Pascal, dit le facétieux des Cévennes (ce qui n’est pas peu dire en cette terre de dure caillasses). Et… cerise sur le gâteau, ou coton sur les chanterelles, comme disent les affolés de la manivelle, notre cher Président nous honora de sa présence souriante. Il y avait, en outre, à la table d’autres invités, mais permettez-moi de ne parler que de mes compagnons de tour de roue, que j’avais un réel plaisir à retrouver, et je laisse aux autre mines du plumier désormais bien fourni du blog, le soin de paratchever (i.e. achever convenablement une chronique du paratge).
Pierre.
Paratchevons, puisqu'il faut paratchever : à la soirée Paratge-resto, il y avait, avec nous : Gilles, Laurent (de la communauté gitane), Jean-Louis (pécheur sétois, qui vient au Paratge de l'accordéon), Jean-François El Présidente, Robert (constructeur de la Barque des Poste), Jérôme (chauffeur officiel de Sylvia). Rappelons, d'ailleurs, qu'avec tout ce monde ici cités, nous partons pour les Fêtes de Loire, du 18 au 23 septembre : les Paratgistes intéressés doivent se manifester.. !
Laurent et Béatrice, patrons de la cantine à Bruno © Hérault Tribune |
N'oublions personne : les patrons du resto sont Laurent et Béatrice, la serveuse s'appelle Amal, et il y avait Francky aux fourneaux, supervisé par ledit Laurent, bien entendu. Le restaurant s'appelle La Place, il est situé Place de la Marine, au bord de l'Hérault. Demain, il change de nom pour s'appeler Le 2vin. Laurent a aussi deux tourne-broches, pour les soirées jazz ou autre, qu'il installe sur la Place de la Marine, très efficace ! La cuisine est traditionnelle et bien faite, ce sont des expérimentés, puisqu'ils ont eu des restos à Castres, Corde-sur-Ciel, La Salvetat. Avec Laurent, nous travaillons sur un projet broche et musique, animation médiévale. C'est un peu ma cantine, ce Resto, j'y mange tous les jours !
Allez, la bise avec le plaisir de se voir au Paratge de septembre !
Bruno.
Bonus track :
Le Paratge des Sirènes — "Balle francese" © Jérôme
C'est pas Domino mais le Ballet francese!
RépondreSupprimerOn dirait bien un "boeuf" de fin de ripaille...
Averell
C'est pas une vielle, c'est une flûte !
RépondreSupprimerOn dirait bien une teuf de fin de ripaillet francese...
c'était le moment du cake à Fanny ;)
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